Sanctionner les fautifs
À la page 3 de l’édition du 9 mars du Journal de Chambly, on pouvait lire: «Pas de sanctions pour les agents de police qui se la coulaient douce».
Je n’en croyais pas mes yeux. Par cet article, vous venez confirmer que les quotas de billets existent bel et bien Je vous rappelle,[M. Pasquini, chef de la Régie intermunicipale de police Richelieu—Saint-Laurent] que votre responsable des communications a affirmé sur les ondes d’une radio FM que ces quotas n’existaient pas. Pas plus que les trappes à billets.
Pour le reste de l’article, vous tentez de noyer le poisson.
Pourquoi? C’est très simple. Faire des activités autres que celles pourquoi vous êtes rémunérés et qui ne sont pas en lien avec vos fonctions, ça s’appelle du vol de temps.
Vous le savez très bien M. Pasquini. Alors, AGISSEZ.
En vous comportant comme vous le faites, vous jetez le discrédit sur l’ensemble des policiers qui font leur travail avec un réel professionnalisme, qui interviennent dans des situations dangereuses, parfois au péril de leurs vies.
C’est à eux que vous faites mal, M. Pasquini, puisqu’ils sont associés à des tricheurs. Ce sont eux qui sont en première ligne avec les citoyens. Pas vous.
J’aimerais bien connaître vos attentes et vos mesures.
En terminant M. Pasquini, je vous demande de récupérer les sommes payées inutilement et les rembourser aux villes concernées
Et, sanctionner les fautifs.
René Allard, Chambly.