École Mgr-Euclide-Théberge: Une semaine de la Francofête réussie
ÉDUCATION. La semaine de la Francofête, qui se déroulait du 21 au 24 mars à l’école secondaire Mgr-Euclide-Théberge de Marieville, a été un franc succès. Les auteurs et le groupe de musique invités ont attiré un nombre impressionnant d’élèves.
L’auteur de la série Amos Daragon, Bryan Perro, a fait salle comble alors que 300 jeunes sont venus le rencontrer le 21 mars. Janie Corriveau, la bibliothécaire de l’école qui fait partie du comité de la Francofête, se dit surprise par la réponse des élèves. Elle explique que ce sont les enseignants qui devaient inscrire leur groupe à l’activité. Ceux qui ne l’avaient pas fait se le sont donc fait rappeler par les jeunes qui désiraient absolument y participer.
Pour sa part, l’écrivain Stéphane Dompierre a réussi à attirer des élèves plus jeunes que ses lecteurs habituels, lors de son passage à l’école, le 22 mars. En plus de tous les groupes de 5e secondaire qui ont lu son livre Un petit pas pour l’homme, certains de 4e secondaire et un de 3e secondaire ont assisté à sa conférence.
«Il a une écriture efficace et drôle qui va chercher même les jeunes les plus récalcitrants à la lecture», affirme Mme Corriveau, ravie de voir la demande importante pour ce type d’activité.
La semaine s’est terminée sur une note tout aussi positive avec le spectacle de Buzz Cuivres lors duquel la salle était aussi remplie à pleine capacité. La prestation du quintette s’est conclue par une ovation debout et les élèves se sont empressés d’aller poser des questions aux musiciens.
«Buzz Cuivres, c’est un spectacle pour les jeunes, bien fait et avec beaucoup de contenu. C’est une découverte impressionnante et un nom à retenir», déclare Janie Corriveau.
Le comité de la Francofête avait choisi d’inviter le groupe afin d’intégrer l’aspect culturel à cette semaine et les résultats ont été concluants. Le quintette a convaincu le comité de continuer dans la diversité dans les prochaines années afin de promouvoir non seulement la langue française, mais aussi la culture en général.
«Il y a tellement de talents alors on doit se tourner vers la culture», conclut Mme Corriveau.