Christian Picard parle d'éducation

« Faisons du Québec la société la plus instruite au monde !
4e et 5e secondaire
Il est urgent d’agrandir l’école secondaire afin d’y intégrer un 4e et un 5e secondaire. J’en fais une priorité. Je vais également voir à la mise en place de projets pilotes dans les écoles primaires pour intégrer des activités de découverte de l’histoire de notre région.
L’aide directe aux élèves
L’austérité libérale en éducation a causé la suppression de plus de 375 postes de professionnels et plusieurs postes de techniciens en éducation spécialisée. C’est pourquoi nous proposons d’instaurer un seuil garanti de services professionnels directs aux élèves qui fréquentent l’école publique et les centres de formation aux adultes.
Création d’une antenne collégiale et technique brassicole
En évaluant les services offerts aux jeunes de la circonscription, seulement pour le collégial, j’ai réalisé qu’entre Saint-Jean-sur-Richelieu, Saint-Hyacinthe et Longueuil, c’est le désert. C’est pourquoi je souhaite l’implantation d’une antenne collégiale comprenant notamment une technique de production brassicole. Avec ce programme, notre région deviendrait en quelque sorte la capitale de la microbrasserie au Québec. Cette technique n’est offerte qu’à un seul autre endroit au Québec, soit au Cégep de Jonquière.
Une loi bouclier pour protéger les jeunes
Pour éviter que notre jeunesse ne soit encore victime des décisions budgétaires, un gouvernement du PQ adoptera une loi bouclier qui vise à protéger les services éducatifs offerts, c’est-à-dire les budgets liés à l’éducation, la protection de la jeunesse et la famille (CPE).
Des écoles vétustes dans Chambly
Jamais dans l’histoire du Québec nos écoles n’auront été en aussi mauvais état, conséquence directe du sous-investissement libéral. Dans la circonscription, nos écoles nécessitent des travaux de maintien d’actifs important et parfois urgents. 12 écoles sur 16 obtiennent un résultat mauvais ou très mauvais. C’est inacceptable ! Pourquoi le député Roberge a-t-il laissé la situation se détériorer à ce point sans intervenir ? Le rôle d’un député est de suivre cela et d’intervenir au besoin. Il n’a pas fait son travail.
Un véritable yoyo budgétaire
Si nous comparons ce qui a été investi en éducation par rapport à ce qui avait été promis par les libéraux en campagne électorale, le manque à gagner s’élève à près de 4 milliards de dollars. Malgré le réinvestissement en fin de mandat, le gouvernement est loin de rattraper ses propres coupures, sans oublier les cohortes d’enfants en difficulté qui ont été privées de services durant les années d’austérité. »