Ricardo, ambassadeur de la «Nouvelle France»?
Le magazine Elle France a dressé un portrait que certains internautes ont trouvé pour le moins surprenant, et rempli de clichés, de Ricardo Larrivée et du Québec (ou plutôt, de la «France américaine»), dans un article annonçant la sortie dans l’Hexagone d
L’article a vite fait de susciter des réactions au Québec.
On apprend, dans ce «portrait à l’huile (et au beurre) d’un ambassadeur de la Nouvelle France», que «l’appétit autonomiste de Ricardo évoque le fonctionnement des anciens établissements pionniers, ces sociétés de défricheurs capables de tout produire en autarcie […]. Il y a chez lui, comme en tout Québécois, une vénération de la retraite dans l’érablière, équivalent autochtone de la palombière ou de la datcha: pendant “le temps des sucres” (entre 4 et 6 semaines autour de Pâques), un porc est traditionnellement sacrifié et congelé en plein air».
Aussi, on y lit que le «gentleman trappeur» «vit à proximité du fort de Chambly, au bord d’un affluent houleux du Saint-Laurent qui a dû servir de décor à la geste de Jacques Cartier et aux guerres indiennes.»