Pratiquer un sport à petit prix
SPORTS. La période d’inscriptions aux activités sportives bat son plein en ce moment et les parents ont l’embarras du choix. Le Journal de Chambly a dressé un top 3 des loisirs les moins dispendieux de la région.
Le tennis se classe en bonne position parmi les quatre villes les plus populeuses du territoire de distribution du Journal. Carignan n’est pas incluse, car la majorité de ses activités sportives sont organisées par des associations de Chambly.
Ce sport se retrouve au premier rang à Chambly et à Saint-Césaire, puis au deuxième échelon, à Richelieu et à Marieville.
La natation semble aussi avoir la cote, au point de vue des coûts, alors qu’elle arrive au deuxième rang à Richelieu.
Les arts martiaux ne sont pas en reste. Plusieurs cours de karaté, de taekwondo, de jujitsu et de judo sont offerts un peu partout sur le territoire.
Une popularité variable
Le soccer, qui est de loin l’activité la plus populaire chez les jeunes de la province, arrive en bonne position. Si le sport connaît une baisse de popularité à l’échelle provinciale, ce n’est pas le cas pour les quatre clubs affiliés à l’Arsenal. Ils connaissent une des plus fortes croissances de la région. En tout, le nombre de participants est passé de 1500 en 2010 à 2100 cette année.
« Les quatre clubs sont à la hausse comparés à toutes les associations autour, affirme le directeur général de l’Arsenal, Patrick Morin. Dans la région [Richelieu-Yamaska], nous sommes passés de 13 000 à 11 000 membres. »
Entente entre les villes
Quelques villes ont conclu une entente afin d’offrir au même prix, ou à un tarif plus avantageux, les activités aux résidents des villes voisines.
C’est notamment le cas de Sainte-Angèle-de-Monnoir qui s’est entendue avec la Ville de Saint-Césaire.
« Pour des activités qui ne sont pas offertes par la municipalité ou la Municipalité de Saint-Césaire, nous avons aussi un programme de remboursement des frais de non-résident relatifs aux activités de loisirs », explique le coordonnateur des loisirs de Sainte-Angèle-de-Monnoir, François Bonin.