Fin de session parlementaire : Jean-François Roberge se montre satisfait

Le député de Chambly, Jean-François Roberge se dit fier d’avoir amené plusieurs dossiers devant l’Assemblée nationale, dont ceux concernant le CLSC de Richelieu et les déversements des eaux usées dans la rivière.
En entrevue, le représentant de la Coalition Avenir Québec se montre conscient que les deux dossiers ne sont pas réglés à 100 %, dont celui du CLSC pour les gens qui n’ont pas de médecins de famille. « J’ai interpellé le ministre de la Santé à plusieurs reprises et il a fini par admettre lui-même que ça n’avait pas d’allure. Je sais qu’il travaille sur le dossier lui-même activement pour sauver les services. »
Jean-François Roberge évoque les déversements dans le Richelieu et ajoute que certes, ce n’est pas réalisable à court terme la séparation des conduites pluviales et sanitaires lorsqu’on refait des rues dans les vieux secteurs, mais une mise à niveau des usines d’épuration de Richelieu et de Saint-Mathias « peut se faire rapidement », mentionne le député en faisant la promesse que sous un gouvernement de la CAQ, les fonds refusés par les libéraux seront « disponibles » pour ces mises à niveau.
Dans le dossier de l’éducation, le député juge problématique « le gonflement des notes » et se montre solidaire des « enseignants qui peinent à avoir leur autonomie professionnelle ».
Jean-François a tenu aussi à souligner le fait d’avoir réussi à faire adopter une loi qui interdit la discrimination salariale en fonction de la date d’embauche.

« J’ai interpellé le ministre de la Santé à plusieurs reprises et il a fini par admettre lui-même que ça n’avait pas d’allure. » – Le député Jean-François Roberge

Invité à réagir à la proposition de son adversaire péquiste le candidat Christian Picard qui souhaite que la Clinique des jeunes du bassin de Chambly ouvre cinq jours au lieu de trois, le député dit que si la demande venait des jeunes et de l’appui du conseil d’administration, il lui apporterait alors son soutien.