Dans l’oeil du dragon : un passage vers la prospérité
Nicolas Desjardins est chef d’entreprise. Huit ans après son passage dans le show « Dans l’oeil du dragon », le Chamblyen nous confie quels ont été les apports des hommes d’affaires.
Nicolas Desjardins est comblé aujourd’hui. Le gérant de Béton Surface, spécialisé dans les peintures de béton, est propriétaire d’une entreprise qu’il souhaite à son image. « C’est vrai qu’il y a des hauts et des bas comme dans toute entreprise, confie-t-il. Mais en ce moment, les sept territoires où des franchises sont disponibles sont vendus. Si je peux donner un conseil, il faut savoir bien s’entourer lors du développement de l’entreprise. C’est ce que j’ai su faire et aujourd’hui, elle possède une intelligence émotionnelle importante. C’est ce dont je suis le plus fier. C’est une entreprise vraiment humaine. Elle fonctionne comme une petite famille avec une belle solidarité entre franchisés. »
Pas d’argent
Pour arriver à ce résultat, le gérant a su séduire le jury de l’émission « Dans l’oeil du dragon » en 2015. Au point qu’une entente avait été conclue avec l’une des mentors, Danièle Henkel. Une entente financière aurait même été conclue. « Finalement, non, assure Nicolas Desjardins. Cela a été dit à l’antenne mais cela ne s’est finalement pas fait. Nous avons eu une belle rencontre mais il n’y a pas eu de feeling. Nous avons eu une belle relation pendant quelques années mais pas dans les affaires. Et je n’ai aucune amertume là-dessus. »
Pas d’argent, mais le propriétaire de Béton Surface est heureux de son passage à l’émission. « Elle a permis de faire connaître mon projet et des futurs franchisés nous ont vus à la télévision. Même une personne d’Edmonton s’est manifestée ! »
Le Chamblyen a tellement apprécié l’émission qu’il y est retourné en 2021 pour sa nouvelle entreprise Vertica Design. « Le but était de développer des franchises à travers le Canada et intégrer les États-Unis. Une entente de coaching a été conclue avec Christiane Germain. Les franchises sont bien plus avantageuses que les commerces indépendants. Elles permettent d’accéder à des formations, des solutions marketing et du soutien technique. Entre franchisés, on parle le même langage. »